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  • Photo du rédacteurNathalie Giraud Desforges

Le point G masculin, ce qu’Arte ne vous a pas montré

Allez, un dernier coup de pub à Arte, qui rediffuse dans la nuit de ce soir, lundi 16 oct. à 00h40, son sujet consacré à l’orgasme féminin et masculin dans lequel vous en saurez un peu plus sur la prostate, le Point G masculin, mais ne verrez rien de l’Anéros, le premier stimulateur prostatique (dont Piment Rose est le distributeur exclusif en France, mais oui !).

Et pourtant, la stimulation du point G masculin n’a rien à voir avec l’orientation sexuelle des utilisateurs, débat dont il faudrait finir une fois pour toute ! D’ailleurs, les trois quarts des témoignages d’utilisateurs d’Anéros proviennent d’hommes dont l’orientation est hétérosexuelle.

Conçu initialement par les urologues américains, pour le massage de la prostate (petite zone localisée entre le scrotum et l’anus, plus précisément à environ 3 ou 5 cm de l’anus suivant les individus) à la suite d’interventions chirurgicales, cet accessoire était donc initialement – et il est toujours – un dispositif thérapeutique ; comme les premiers godemichets d’ailleurs tels les boules de geisha ! Son usage non médical requiert un peu de curiosité et d’ouverture d’esprit (oui, d’esprit !…) car ce n’est pas un jouet sexuel ordinaire ou un « plug » comme ceux que l’on peut trouver dans les sex-shop.

L’Aneros est différent, à la fois par son design et sa fonction puisqu’il n’est pas destiné à la dilatation anale ni à obtenir une sensation de “remplissage”. Non, il est spécifiquement conçu pour masser avec précision la prostate et la zone du périnée et conduit à une variété d’orgasmes tout à fait unique, incomparables avec les modalités ordinaires de l’orgasme éjaculatoire : des orgasmes multiples et NON éjaculatoires. Et oui, les 2 ne sont PAS nécessairement liés.

A bon entendeur, … !

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