Sur le chemin du lever, Son homme s’est arrêté, Les ébats du matin consommés, De baisers ressasiés, C’est d’agenda qu’ils conversaient.
La bouche sur son clito, il l’écoutait, Sa langue, ce sont ses paroles qu’elle buvait. Quant à la belle, fi du discours sur les calendriers, C’est son souffle qui s’accélérait, Et ses cris, de plaisir, ils se chargeaient…
Moralité : Messieurs, de grâce, lorsque la couche commune vous quittez, D’un dernier baiser, son sexe allez saluer !
C’est marrant la vie, on ne sait jamais ce qui peut arriver 🙂