Ce soir, je râle, car une toute nouvelle boutique coquine se targant d’être LA seule, l’unique, celle que vous attendiez tous, LA référence dans le domaine de la sexualité féminine, vient juste d’ouvrir son site (non fini) aux journalistes. Sa créatrice, Sophie Bramly, parisienne of course, a déjà été élue par le magazine Elle d’octobre comme LA femme de l’année qui “libère nos désirs” avec l’info relayée par le journal
Le Monde. Et si ça, c’est pas du copinage, j’en mange mon sextoy, en direct, à une heure de grande écoute, sur un plateau de télé, nationale bien sûr!!!
Et comme je me sens d’humeur râleuse o-rageuse (et non je n’ai pas mes ragnagna pour les cyniques du coin) et que je suis seule sous la couette (et non je n’ai envie ni de mon Rabbit ni d’une séance auto-érotique), je viens de pondre un méga commentaire sur le blog de Presse-papier, qui lui, au moins, parle intelligement et avec humour du phénomène “sex-toy must have” et du “plaisir féminin un impératif catégorique” tout en citant la concurrence (snif). Mais plus d’erreur, le voilà briefé sur les activités de Piment Rose.
Je me suis donc empressée de lui rappeler quand même que :
…/… Cela fait presque 5 ans maintenant que nous “pimentons la vie amoureuse” de bons nombres de francophones et marions les conseils, dossiers et articles divers sur la sexualité de couple avec les accessoires érotiques en vente sur notre boutique coquine. Plaisir féminin ET masculin s’entrelacent au quotidien avec preuves à l’appui : notre jeu sur les fantasmes, nos sites plaisirmasculin.com et plaisirfeminin.com, le ton de mon blog, nos rencontres thématiques et mes autres particpations à des congrès médicaux!!! + nos soirées sextoys depuis 2003 et +++ encore…
Depuis j’ai vu évoluer le monde du sextoys et l’engouement des médias avec amusement et soulagement! Car il est maintenant, dans le contexte actuel, nettement plus facile de faire passer mon message d’une sexualité, détabouïsée, dédramatisée et déculpabilisée.
Puis, je lui ai fait le pamphlet de la pariiiiiiiiiiiiisienne vs la provinciaaaaaaaaaale, pour terminer par un grand rentre-dedans si vous me permettez l’expression tendance délicieuse, sur les p’tits fours, l’interview etc..
…/… Nous, nous sommes dans le sud, près de Nice et ce qui est sûr c’est que je n’échangerais pas un passage dans le Monde (même pas deux d’ailleurs) contre un changement d’adresse parisien. En revanche, je me déplace facilement pour interview, cocktails petits fours etc… :-))
Allez bon, il est tard, les carottes sont cuites, tomorrow is another day et dimanche je pars … sur Paris parler biz biz avec mon pote le seul, l’unique, l’inoubliable Le Roi de la Capote!
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