Bonjour (écrit en tout petit et puis en plus gros en prenant de l’assurance) BONJOUR !
Nouvelle venue sur ce blog, je prends la plume, plus exactement le clavier à la demande insistante de Nathalie.
Parisienne dans l’âme, le goudron chevillé au corps, j’ai vu grandir le Piment et la Rose à la faveur de ces soirées entre copines de la Côte auxquelles je participais de temps à autre, lors de mes descentes avec Easy Jet 😉 (grosse pub !) vers la grande bleue.
J’ai d’abord ricané, je l’avoue, puis je me suis amusée à voir Nathalie lorsqu’elle venait à Paris, déballer ses sextoys sur le tapis de mon salon, la table de la cuisine et même au restaurant ! Si, au restaurant !!! J’ai arrêté de fréquenter certains endroits après. Ben oui, moi je suis un peu plus réservée que Nathalie et j’ai tendance à mettre la main devant ma bouche quand je ris des zizis.
La première fois qu’elle m’a collé une grosse bite animée dans les pattes en m’assurant que c’était fun, j’ai cherché un endroit inaccessible où planquer l’affaire. Le genre d’endroit que même mes enfants clonés avec Sherlock Holmes ne trouveraient pas. Donc, je les ai égarés !
Voilà, ça a commencé comme ça. Il a fallu que je réclame un nouveau truc rose, oui, le machin qui bouge, un sextoys, voilà, et j’ai piqué un fard au téléphone quand la dame de l’accueil téléphonique m’a demandé mon adresse. Ouh, et si le facteur trouvait ça ? si le paquet arrivait déchiré, si…
Bon, aujourd’hui, j’ai plus trop le temps de penser à la gaudriole car nous avons mis un troisième loustic en route et il est confortablement logé dans mon utérus qui est devenu gigantesque et je vois à peine mes pieds. Alors la brouette espagnole, vous pensez bien que j’ai arrêté, je faisais culbuto et j’ai horreur du ridicule.
Ma mission, que j’ai acceptée, vu que je travaille devant un clavier toute la journée, c’est de vous raconter un autre Piment et une autre Rose. Un peu moins terrain, en prenant du recul, moins les mains dans le cambouis si Nathalie me permet ! Car je badine avec sérieux, m’enthousiasme avec ma tête et ne sors jamais sans mon Blackberry dans lequel je note tout. Voili, vous savez (presque, faut pas déconner !) tout de moi. A bientôt.
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